Je vous retrouve mes petits coquins chéris pour aborder une thématique que j’affectionne particulièrement de part son caractère sulfureux. Et bien entendu, vous sachez que votre Olivia adore tout ce qui est sulfureux, érotique et un tantinet pervers. et pardessus tout, j’adore faire l’amour. Et lorsque que cela devient une bonne baise dans l’univers libertin, c’est l’extase. Par ailleurs, dans le sexe amateur, mon crédo est no limit dans ses fantasmes. Et je vous rappelle ici que mon salon n’est pas un site porno. Nous abordons des sujets et d’autres d’une vie sexuelle librement consentie par des adultes très sexuellement actifs.
Être une dominatrice
Pour en revenir à notre titre très évocateur : femme dominatrice. Je pense pouvoir affirmer qu’il faut un soupçon de quelque chose d’inné en soi pour être dominatrice. Il est vrai que certaines expériences de la vie conduisent sans qu’on ne s’en rende compte sur le chemin de cette pratique sexuelle. Cependant, une femme peut décider d’orienter ses rapports sexuels vers le BDSM et particulièrement vers la domination. Elle peut ainsi apprendre sans tabou les codes de ces rencontres libertines. Par contre, le choix de devenir une dominatrice ne doit pas découler d’une vengeance sur des relations passées insatisfaisantes. La première règle à assimiler est la suivante : bien qu’étant dominatrice autoritaire elle est soumise aux désirs et limites de son soumis. Cela dit, la dominatrice, même elle doit respecter les limites de son soumis pendant la séance, elle est celle qui a la liberté d’action. Elle impose ses désirs et le soumis s’exécute, il s’en remet à elle car c’est ce qu’il recherche : se reposer entièrement sur la dominatrice pour lui assurer son plaisir sexuel. Dans le jargon, la femme dominatrice aussi appelée maîtresse SM. Il existe des sites de rencontres spécialement dédiés à cette douce activité. Et dans le salon de votre Olivia, le sexe est sans tabou.
Le fantasme de se faire dominer par une maîtresse
Dans ce paragraphe, nous allons parler de désirs d’hommes qui sont excités par l’idée d’être dominé pendant les ébats sexuels par une femme dominatrice. Il existe par ailleurs des adeptes de Domination/Soumission sadique. Dans ce type de rencontre libertine, le soumis est l’esclave de sa maîtresse 24h/7. Revenons à notre échange coquin du jour, le fantasme se faire dominer ! Certains hommes sont excités par l’idées de laisser le contrôle à la femme Domina pour un orgasme fulgurant. Ce fantasme de soumission ou de domination peut s’expliquer de plusieurs manières. L’homme peut par exemple vouloir le réaliser pour se mettre dans la peau d’un rôle qu’il a pas l’habitude de jouer au quotidien. Cela exacerbe sa libido. En effet, la soumission permet d’expérimenter des comportements différents dans les relations sexuelles, qui changent de l’ordinaire. Dans ces cas les séances s’articulent autour de quelques règles fondamentales : chacun sait quel est son rôle et le jeu érotique a pour finalité la jouissance.
Prélude d’une séance avec mon soumis
La tenue vestimentaire est primordiale, car le soumis recherche l’assouvissement d’un fantasme érotique. Alors ce soir je suis habillée en dresseuse de fauve. Blonde en corset en latex rouge, bas de soie, cuissardes et fouet… En ce qui concerne mon soumis du jour, j’ai décidé de le revêtir de lingerie fine ( soutien-gorge et string) de bas résilles et talons aiguilles. Il a besoin d’expérimenter le déhanché d’une femme sexy sur des échasses de 20 centimètres. Et surtout cela lui fera une belle cambrure de pied lorsqu’il sera à genou à mes pieds. Je vous laisse imaginer l’usage que je ferai de mon fouet sur les belles fesses rebondies de mon amant soumis. Afin de pimenter les choses, je pense que lors de la prochaine séance, je ferai appel à un autre soumis. Humm deux soumis pour ma petite chatte… ou encore le plaisir de les regarder se donner mutuellement une bonne fellation dans un 69 tout en muscles ! Oui je sais ce que vous pensez : je peux être une belle salope lorsque je suis dans mon rôle de Maîtresse. En cela, rien de bien surprenant, j’explore ma sexualité comme je croque dans une pomme : goulûment !