Petite gourmande avide de sucette

Cela faisait quelques semaines que je sortais avec Jason, jeune loup de la finance, très sûr de lui et charismatique. Nous nous étions jusque là rencontrés pour prendre quelques verres dans des bars à la mode.

Vendredi soir au bureau

Ce soir là, nous avions rdv au café où nous avions déjà quelques habitudes. Une heure avant l’heure dite, Jason m’a envoyé un sms me donnant l’adresse de son bureau pour que je l’y retrouve. En effet, il avait une réunion qui devait finir plus tard que prévu. En ce vendredi soir, l’open space était pratiquement désert. J’ai patienté encore un bon quart d’heure avant que Jason ne sorte d’une salle de réunions avec ses collègues dont il a pris congé. Nous avons échangé un long regard intense avant qu’il ne m’invite à entre dans son bureau. Dans de belles proportions, son bureau était à l’image de Jason : moderne et contemporain.

Douce soumission

 » À genoux !  » ordonna-t-il d’une voix brusque. j’obéis sans un mot de protestation. Aussitôt, il défit son pantalon et sortit son sexe à demi érigé. Il commença à se caresser, sans quitter des yeux ma bouche. Fascinée, j’observais son membre magnifique se tendre de plus en plus. Ses gestes étaient terriblement sensuels, et un frisson d’anticipation me parcourut l’échine. Je sentais le désir de cet homme super sexy monter en puissance et s’emparer de tout son corps.

Il ralentit ses mouvements et referma un instant la main sur son gland avant de la faire descendre jusqu’à la base, soulignant la taille impressionnante de son sexe. Il n’avait pas besoin de dire me dire ce qu’il voulait : je l’avais deviné. Je serrais les cuisses pour endiguer la montée de mon propre désir. je salivais à l’idée de goûter enfin ce membre turgescent qui palpitait devant moi.

Ouvre la bouche, m’ordonna-t-il !

Il se glissa entre mes lèvres d’un long et profond mouvement.  Le contraste entre la douceur de sa peau et la dureté de son érection m’excitait encore plus. je me délectais de son odeur, de sa saveur. Jason referma les poings dans mes cheveux afin de me maintenir la tête tandis qu’il entamait un lent va-et-vient.

— Oh, Olivia j’adore ta bouche. Ça fait tellement longtemps que je rêve de ça…, de te baiser comme ça et de jouir dans ta gorge.

Je fermais les yeux, secouée par la force de ses coups de reins. 

 J’accompagnais ses mouvements en faisant jouer ma langue le long de sa queue. 

—Oh oui, gronda-t-il. C’est ça, ma belle. Prends-moi jusqu’au fond, vas-y ! J’adore sentir ta gorge se resserrer autour de mon gland quand tu avales ta salive. 

Je le pompais tellement que j’en avais les mâchoires en feu.

Il raffermit sa prise dans mes cheveux, m’immobilisant complètement. Comprenant qu’il voulait avoir le contrôle, je jetais la tête en arrière afin de le laisser entrer encore plus loin.

Je voulais savourer cette délicieuse sucette, je léchais, suçais, prête à tout pour lui procurer un plaisir inégalé.

Il accentua encore ses mouvements puis s’arrêta au plus profond, lui maintenant le nez tout contre son ventre. Alors que je commençais à manquer d’air, il se recula et me laissa le temps de respirer.

Puis il s’avança juste assez pour faire jouer son gland sur mes lèvres avant de me pénétrer avec force.

—Tu te rends compte de ce que tu me fais ? demanda-t-il d’une voix rauque. Reste là, ne bouge pas, Olivia. Je vais jouir dans ta bouche et je veux que tu avales jusqu’à la dernière goutte.

Je percevais déjà une saveur salée, signe qu’il était proche de l’orgasme. Il était tendu comme un arc, et rien n’aurait pu freiner sa course vers un plaisir fulgurant.

Au contraire, il accéléra encore, chacun de ses coups de reins s’accompagnant d’un bruit de succion qui résonnait à mes oreilles.

Comme un goût de fraise…

J’ avais beau m’y attendre, je fut surprise de goûter sur ma langue le premier jet de sa semence chaude. et salée, presque acidulé comme un fraise pas très mûre. Il ne ralentit pas, et chaque coup de reins s’accompagnait d’une nouvelle secousse. j’avalais à plusieurs reprises, mais il continuait à jouir, les mains crispées dans mes cheveux au point de me faire mal. Refusant de céder à la douleur, je ne protestais même pas lorsqu’il se dressa sur la pointe des pieds, s’avançant plus loin que jamais, presque trop loin. Il se tint ainsi un long moment, jusqu’à ce que ses spasmes se calment. Alors il me lâcha les cheveux et se retira de ma bouche.

La délivrance !

J’avalais, toussais, puis avalais de nouveau, j’étais tellement en phase avec lui pendant sa jouissance qu’il n’a fallu qu’un petite pression de mes cuisses serrées pour me faire jouir. Il me tenais dans ses bras pendant que mon corps se laissait envahir par une délectable extase. Enfin, il m’a embrassée en me remerciant pour se moment unique. La petite cochonne que je suis lui a fait remarqué que la soirée ne faisait que commencer.

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